Les huiles essentielles au-secours de la sécu
L’OMS, les pouvoirs publics, et les médecins eux-mêmes, n’ont de cesse de marteler que l’utilisation massive d’antibiotiques conduira à l’inefficacité de certains d’entre eux d’ici 10 à 20 ans. Saviez-vous que la majorité des huiles essentielles ont une action antivirale ? Ainsi, le recours aux huiles essentielles s’indique parfaitement pour certaines pathologies virales (affections ORL comme le rhume par exemple).
A savoir, contrairement aux antibiotiques, les huiles essentielles ne créent pas de résistance chez les bactéries. De plus, la concentration efficace des huiles essentielles par voie orale peut même être jusqu’à 50 fois moins importante que celle des antibiotiques. Et comme les huiles essentielles sont peu onéreuses, on peut imaginer que le budget de la sécurité sociale se porterait beaucoup mieux si leur utilisation était plus répandue…
Évidemment, les huiles essentielles peuvent tout à fait être associées à un traitement antibiotique prescrit par un médecin. Dans ce cas, leur action permet d’améliorer la réponse de l’organisme en ayant une influence positive sur l’immunité.
Comment choisir ses huiles essentielles ?
Pour celles et ceux qui n’ont pas encore l’habitude d’acheter des huiles essentielles et qui sont un peu perdus dans le dédale d’offres en tout genre, 3 grands laboratoires en phytothérapie se partage le marché : Phytosun, Pranarom et Puressentiel Il est clairement indiqué pour chacune de leurs huiles essentielles dans quel cas et comment les utiliser. Exemple : l’ huile essentielle Ravintsara en cas d’angine virale et bactérienne, ou de rhume. Rien de plus simple !
Pour promouvoir l’utilisation des huiles essentielles, la parapharmacie en ligne Vitalya organise un jeu-concours gratuit. Il vous suffit de répondre à un petit quizz pour tenter de gagner un , des “bibles” sur les huiles essentielles ou bien des bons d’achats de 10 euros. Vous avez jusqu’au 22 novembre pour profiter de ce bon plan !
Morgane Boileau