Développement durable : Expanscience va plus loin
Vous connaissez les Laboratoires Expanscience principalement grâce à leurs produits Mustela pour bébé. Probablement aussi grâce à leurs soins dermo-cosmétiques Noviderm. Mais saviez-vous qu’Expanscience c’est aussi l’engagement volontaire de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE) pour des produits éco-conçus. Décryptage de ce gage de qualité.
L’objectif des Laboratoires Expanscience d’ici 2015 est clairement assumé : 100% des nouveaux produits dermo-cosmétiques seront éco-conçus, soit 20% du chiffre d’affaires de cette activité. Cela implique un choix des ingrédients spécifiques, le recyclage, la recyclabilité de leurs emballages et une démarche de développement durable dans la fabrication comme la distribution de leurs produits. Cette démarche de RSE globale, loin d’être un concept marketing, se traduit dans les faits :
– éco-conception : 140 tonnes de cartons, papiers et matières plastiques ont été économisés entre 2007 et 2011. Le grammage du papier utilisé pour les notices pharmaceutiques a été réduit de 30%…
– biodiversité : pour ne pas mettre en péril les ressources naturelles de notre planète, les Laboratoires Expanscience mettent en place des filières d’approvisionnement responsable pour se fournir en matières premières végétales. Depuis 2011, Expanscience est le premier laboratoire pharmaceutique français à adhérer à l’UEBT (Union pour le BioCommerce Ethique).
– pollution : les Laboratoires Expanscience contribuent à diminuer leurs émissions de Gaz à Effet de Serre (-8% entre 2008 et 2010) et leurs émissions de CO2 avec la flotte automobile pour les itinérants (-12% entre 2007 et 2011).
– L’entreprise attend 18% d’économie d’énergie et 50% d’économie d’eau sur la nouvelle ligne de production des principes actifs d’origine naturelle. 57% de leurs brevets déposés en 2011 sont des brevets de technologies « éco-innovantes ».
Voici une vidéo qui vous aidera à mieux comprendre ce qui se cache derrière des mots techniques comme éco-conception, RSE, démarche des « 4R »…
Morgane Boileau
Article sponsorisé