L’aspartame de nouveau mis en cause
Europe 1 a révélé hier que deux nouvelles études montrent que ces édulcorants, les substances qui donnent le goût sucré, favoriseraient les accouchements prématurés et le cancer du foie et du poumon.
L’étude danoise menée auprès de 59.334 femmes enceintes a ainsi montré qu’abuser de sodas non gazeux sucrés aux édulcorants augmente le risque de prématurité du bébé de 29 %. Le risque est encore plus élevé avec les sodas gazéifiés non sucrés, avec édulcorants. En boire une fois par jour augmente le risque de 27 %. En consommer deux à trois par jour, augmente le risque de 35 %. Avec plus de quatre chaque jour, le risque bondit de 78 % !
Quand à l’étude italienne, elle porte uniquement sur l’aspartame. Cette substance est notamment soupçonnée d’être plus dangereux en cas d’exposition dans le ventre de la mère, quand celle-ci qui prend des sucrettes. Ainsi des souris exposées à l’aspartame pendant la gestation a favorisé à long terme les risques de cancer, notamment du foie et du poumon.
Forts de ces résultats, les checheurs soughaitent que les autorités sanitaires réexaminent sérieusement les dangers de l’aspartame et des autres édulcorants. Europe 1 précise qu’on en retrouve dans plus de 6.000 produits alimentaires consommés par 200 millions de personnes dans le monde.
Source : Europe 1